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Festival EKHOES
Musiques électroniques et électroacoustiques
Ekhoes est un nouveau festival à Chalon-sur-Saône dédié aux musiques électroniques et électroacoustiques, proposé par le centre de création musicale dijonnais Ici l’Onde, la compagnie Alcôme et le collectif La Méandre, avec le Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Chalon, l’Espace des Arts – scène nationale et l’EMA Fructidor.
Ekhoes vous invite aux expériences du sonore : musiques spatialisées sur un orchestre de haut-parleurs, ciné-concert hommage à l’immense Pierre Henry, installations sonores, performances électroacoustiques, électroniques, lutheries alternatives, rencontres et ateliers du 29 novembre au 2 décembre à Chalon-sur-Saône.
UN ACOUSMONIUM à l'AUDITORIUM
L’acousmonium de la compagnie Alcôme, composé de plus de quarante haut-parleurs, sera installé dans l’Auditorium du Conservatoire pendant toute la durée du festival.
Qu’est-ce qu’un acousmonium ?
Une expérience dynamique et immersive.
Un acousmonium, c’est un orchestre de haut-parleurs. Ces haut-parleurs sont souvent de tailles et de types différents, chacun a son caractère sonore propre, et sont répartis tout autour du public. Cela permet au son d’aller dans toutes directions, ce qui peut donner l’impression qu’il se déplace tout autour de l’auditoire. Inventé au milieu du XXe siècle par les pionniers des musiques expérimentales et contemporaines, il permet aux compositeurs et compositrices d’écrire la musique en trois dimensions.
« Acousmonium » vient du grec akousmatikoi, le nom des élèves de Pythagore qui écoutaient sa voix derrière un voile sans le voir. Dans le contexte de la musique électroacoustique, il signifie un passage de la musique instrumentale et orchestrale traditionnelle à une manière plus abstraite et spatiale d’écouter les sons.
LA PROGRAMMATION
MERCREDI 29 novembre
20:00 À l’Auditorium du Conservatoire
Gratuit
Ciné-concert
L’homme à la Caméra, Dziga Vertov et Pierre Henry
Interprétation sur l’Acousmonium Alcôme par Jonathan Prager
L’Homme à la caméra
Rencontre entre deux grands pionniers de l’expérimental : Dziga Vertov, pour le cinéma, Pierre Henry pour la musique. Avec L’Homme à la caméra, Vertov signe un manifeste, film fondateur du Kino-Glaz, le « ciné-œil », un cinéma vérité qui s’éloigne du récit pour faire le portrait de la ville d’Odessa avec un montage très dynamique, qui raconte en creux la révolution industrielle à l’œuvre. Soixante-quatre ans plus tard, Pierre Henry, père de la musique concrète, en signe une bande originale qui témoigne des mêmes obsessions : « Ma musique se veut objective. J’attaque l’univers sonore de façon visible. L’oreille joue le rôle de l’oeil. Un oeil parfois surréel qui est utilisé comme capteur, comme analyseur. Réalité nouvelle des sons. L’Homme à la caméra est un traité d’écriture de cinéma extraordinaire. La bande-son constitue un répertoire, un inventaire formel et poétique pour un film sans intertitres. C’est une tentative de “musique visuelle”. »
o Jonathan Prager
Jonathan Prager compose pour le concert acousmatique, les installations sonores, le ballet ou encore le théâtre. De plus, il pratique l’improvisation (danse et musique) régulièrement depuis 2006. Enfin, en parallèle à ses réalisations artistiques, il exerce depuis 2008 une activité d’électronicien restaurateur de matériel de studio « vintage ». C’est une passion intense pour les technologies anciennes (et ce qu’elles apportent de singulier au travail de composition électroacoustique) qui l’a amenée à créer, en 2016, l’atelier Studio Piscine à Tokyo à Aubervilliers (France).
JEUDI 30 novembre
19:00 À l’Espace des Arts
Tarif B du Conservatoire : 6€/8€/11€
Performance
DIĜITA — Ensemble Batida & Collectif Hécatombe
Cette bande dessinée en 3D acoustique est un espace sonore et graphique conçu par le collectif d’artistes Hécatombe et l’ensemble Batida qui joue des synthétiseurs et des samplers. Les musiciennes de Batida sont réunies au centre de l’action, mais sont cachées par des images animées comme des paysages énigmatiques. Dans leur voyage presque rituel, elles peuvent être observées de tous les côtés. DIĜITA transporte l’auditoire dans un cinéma pour l’oreille pour lequel Hécatombe a créé un univers visuel qui paraît à la fois archaïque et futuriste.
Ensemble Batida : Alexandra Bellon, Anne Briset, Raphaël Krajka, Jeanne Larrouturou, Viva Sanchez Reinoso
Collectif Hécatombe : Aude Barrio, Néoine Pifer, Bastien Gachet, Yannis La Macchia, Barbara Meuli, Thomas Perrodin
Giuseppe Greco : vidéo
David Poissonier : ingénieur du son
+ d'info : ici
21:00 À la Méandre
Prix libre
Concerts et installations électroniques
Programmation en cours
VENDREDI 1er décembre
19:00 À l’Auditorium du Conservatoire
Gratuit
Concerts
Une soirée dédiée à la musique électronique et électroacoustique live, spatialisée sur l’acousmonium Alcôme pour une immersion sonore totale
Avec : Camille Lacroix, Armando Balice, Alvise Sinivia & Paul Ramage, Johana Beaussart, Alberville
o Camille Lacroix
Camille Lacroix est compositrice et plasticienne. Elle vit et travaille à Paris. Elle étudie la scénographie à l’ENSAD et la composition de musique électroacoustique au CRD de Pantin. Elle évolue actuellement entre les champs de la musique, des arts plastiques et de la performance.
En 2022, elle commence à travailler sur un projet pluridisciplinaire autour d’un texte de Marcel Duchamp : "Transformateur destiné à utiliser les petites énergies gaspillées", qui se décline sous la forme d’une collection de pièces sonores, d’un livre, de dessins. Ce projet lui permet finalement de renouer avec ses origines théâtrales, avec la création de performances, et la conception d’une lutherie dédiée.
Quatre Hymnes mous est une création – commande d’Ici l’Onde
+ d'info : http://www.camillelacroix.fr/
o Armando Balice
Armando Balice est un compositeur franco-italien également improvisateur et musicien électroacoustique. Il est directeur et co-fondateur de la compagnie de création sonore et musicale Alcôme et enseigne la composition électroacoustique au conservatoire du Grand Chalon. Dans ses compositions, mixtes et acousmatiques, il développe une écriture orchestrale, et joue avec les frontières des genres, empruntant autant aux musiques classiques que les musiques expérimentales ou même rock et métal.
+ d'info : https://www.armandobalice.com/
o Alvise Sinivia & Paul Ramage – duo Revox
Rosario est un projet né de la complicité des deux compositeurs improvisateurs Alvise Sinivia et Paul Ramage. Dans la continuité des recherches menées en 2020 lors de la création le Hurle, l’approche concrète et minimaliste de Rosario est une proposition de performance sonore pour deux magnétophones Revox B77 et qui a pour matériaux de départ des sons pré-enregistrés.
Production Compagnie Alvise Sinivia,
Coproduction Fondazione di Venezia, PASE Platform
Accueil en résidence PASE Platform
+ d'infos :
https://alvisesinivia.com/
https://www.instagram.com/paul_gramage/
o Johana Beaussart
Artiste sonore, vocaliste et compositrice, Johana Beaussart produit une musique narrative à mi-chemin entre le cinéma pour l’oreille et la pop expérimentale. Son intérêt pour les univers du doublage, du bruitage et des bandes son de films l’ont amenée à développer un travail vocal jouant sur des notions d’illusions et d’imitations.
Bochlea est une création – commande d’Ici l’Onde et Alcôme
+ d'info : https://cargocollective.com/johanabeaussart
o Albertville – live spatialisé
Groupe pop originaire de Chalon-sur-Saône, le trio Albertville sera en live spatialisé sur l’acousmonium Alcôme.
Anaïs Blanchard : chant, textes et omnichord
Simon Drouhin : boîtes à rythmes, synthétiseurs et voix
Guillaume Bertrand : claviers, synthétiseurs et voix
+ d'info : https://youtu.be/_-FEF1i16OA?si=psON5Sc0pSVn7CQz
SAMEDI 2 décembre
19:00 Au Bar de l’Espace des Arts
Gratuit
Concerts
Danse Musique Rhône-Alpes, Entropy Reduction
+d'info : ici
o Danse Musique Rhône-Alpes
L’avatar Danse Musique Rhône-Alpes est un hommage nostalgique à la dance commerciale des années 90 mais également aux formes les plus brutes et radicales de la musique électronique. C’est donc armé d’un singulier instrumentarium que D.M.R.A invoque les esprits de ces poncifs du club d’avant, et ses contre-pieds les plus radicaux, pour en ressusciter l’absurdité, l’urgence et la physicalité dans des compositions brutes – entre fausse musique traditionnelle et « techno povera » – qui semblent répondre à un rite précis tant dans l’exécution que l’enregistrement.
Bricoleur adepte du DIY, le percussionniste s’est constitué une large palette d’instruments – des toms basses, au marimba, en passant par des pots en terre, des tasseaux de bois et divers éléments de batterie préparés – à partir de laquelle il conçoit des structures rythmiques aux textures sonores infiniment contrastées auxquels s’ajoutent des motifs électroniques générés par des synthétiseurs et une groovebox.
Loup Gangloff : voix, séquenceur-sampler, synthétiseur analogique, tascam portastudio 488 cassette 8 pistes, effets
+ d'info : https://youtu.be/D6BhT_r4lLQ
o Entropy Reduction
Trio électroacoustique improvisé issu du CRR du Grand Chalon, Entropy Reduction questionne la relation au son et à l’image. Si par « entropie » nous entendons désordre, sa réduction est toute autant chaotique, malgré son éphémère ordonnancement sous une multitude de formes de vie. Entropy Reduction s’inscrit dans cette vision aux contours flous et mystérieux pour extraire du chaos bruitiste une forme musicale poétique, sombre et brute.
Antoine Leroy : synthétiseur modulaire, octatrack
Ulysse Sacchettini : clavier MPE, software
Clément Gautheron : synthétiseur analogique, pedalboard
+ d'info : https://vimeo.com/user195742536
21:00 À l’Auditorium du Conservatoire
Gratuit
Concerts
Musiques électroacoustiques sur l’acousmonium
Avec : Emma Kerssenbrock, Lucie Bortot, Philippe Leguerinel, Yiqiao Shu, Angélica Castelló
Interprétées par le collectif Alcôme, virtuoses de la spatialisation sur acousmonium
o Emma Kerssenbrock
Emma Kerssenbrock est un·e artiste sonore indépendant·e. Diplômé·e de la HEAR Strasbourg, iel continue un an son cursus en composition électroacoustique au conservatoire de la ville. Sa pratique est mixte et se veut hybride ; elle oscille entre composition sonore, sculpture, installation et performance. C’est en mutant incessamment entre ces médiums qu’iel trouve les frictions qu’iel cherche. Au sein de plusieurs collectif, iel promeut le travail de jeunes artistes expérimentaux·ales lors de programmation de concerts ou performances.
Miasmes est une création – commande d’Ici l’Onde et Alcôme
+ d'info : https://ekerssenbrock.wixsite.com/krsbk
o Lucie Bortot
Lucie Bortot – aka Luci Schneider – est compositrice, musicienne et artiste sonore. Sa pratique s’ancre dans le réel et s’insère dans des territoires en prenant racine dans des expériences singulières. Elle développe une approche trans-disciplinaire au travers de son travail qui allie son, espace, théâtre et performance in situ. Ses pièces électroacoustiques sont jouées dans divers lieux et évènements : Festival Futura, / Motus, Festival Bypass / EOLE, Collectif META, Alcôme, Festival di Nuova Musica Contemporanea, FIMU, Le Lieu Multiple, etc.
Craque et tais-toi est une création – commande d’Alcôme, avec le soutien de la Maison de la Musique Contemporaine
+ d'info : https://www.luci-schneider.com/
o Philippe Leguerinel
Philippe Leguerinel est l’auteur, à ce jour, de plus d’une trentaine de pièces pour support audio. Du micro au haut-parleur, c’est tout l’atelier des sons qu’il sollicite dans la réalisation de musiques électroacoustiques. Depuis 2007, ses pièces sont régulièrement jouées, dans le cadre de concerts et de festivals (Futura, Alcôme, Why Note, etc.) en France ou à l’étranger (Crest, Paris, Marseille, Bruxelles, Milan, Tokyo, etc.). Sa musique est éditée sur les labels Obs et Nostalgie de la boue.
+ d'info : https://philippeleguerinel.bandcamp.com/
o Yiqiao Shu
Après des études en langues étrangères, Yiqiao Shu a suivi un double cursus d’études musicales au conservatoire de Paris dans la classe de composition électroacoustique de Denis Dufour et Jonathan Prager, et un Master en création musicale et arts sonores à l’INA sup et l’Université Gustave Eiffel.Aujourd’hui, elle poursuit ses études au Pôle Supérieur d’enseignement artistique de Paris (PSPBB) dans les classes de composition électroacoustique de Paul Ramage et d’analyse de Jonathan Prager.
Elles qui ne veulent plus en parler est une création – commande Ici l’Onde et Alcôme
+ d'info : https://soundcloud.com/yiqiao-shu
o Angélica Castelló
Utilisant des enregistrements de terrain, des dispositifs radio et des cassettes, ainsi que les sons extravagants de la flûte à bec paetzold, la compositrice et artiste sonore Angélica Castelló voyage dans le pays énigmatique des souvenirs perdus, de la mort et des rencontres traumatiques, de la fragilité, du monde des rêves et du subconscient. Elle a travaillé à de nombreuses compositions pour orchestre, ensembles, acousmatiques, œuvres radiophoniques ainsi que des installations qui opèrent à l’interface de la musique, de la performance et des arts visuels. Elle est enseignante de musique électroacoustique à Vienne et à Linz.
Intermedio (en attendant), est une création – commande d’Ici l’Onde et Alcôme
+ d'info : https://castello.klingt.org
MERCREDI 29 novembre → SAMEDI 2 décembre
En continu Dans le hall du Conservatoire
o Déboulé, création radiophonique sous casque de Paul Ramage et Clémence Baubant
La chorégraphe Clémence Baubant en complicité avec le compositeur Paul Ramage ont imaginé un projet de documentaire sonore d’art (radiophonique) autour du rituel du carnaval en Guadeloupe, de ses déboulés et plus particulièrement des « Mas à Po » (traduction du créole : groupes à peaux – groupes à tambours). L’envie est de donner à percevoir et entendre le carnaval et tout ce qu’il charrie en lui et avec lui. Les danses et les musiques portent le rôle d’incubateurs de pratiques, forts vecteurs de tradition, d’identité collective et de ré-appropriation des symboles coloniaux. Elles sont également un espace de revendicative politique et de catharsis. Les groupes traitent du cynisme et du satyre social. Les rythmes martelés donnent au défilé l’allure d’une manifestation. Ils mettent en jeu à la fois une mythologie collective et la possibilité d’un parole politique.
Production Alcôme avec le soutien de la Maison de la Musique Contemporaine
o Flippertronics, flipper sonore ludique d’Ici l’Onde, développé par Simon Drouhin et Guillaume Bertrand
Un flipper Gottlieb Excalibur de 1988 transformé en instrument de musique ! À la place des sons et musiques originales du flipper, le public peut choisir parmi un catalogue de créations musicales et sonores spécialement composées pour ce nouvel instrument. Et c’est en jouant au flipper qu’on dévoile des sons et compositions !
Un instrument développé par Simon Drouhin et Guillaume Bertrand à l’occasion d’une résidence Au Maquis à Dijon en juin 2023.
Production Ici l’Onde
AUTOUR DU FESTIVAL
27 nov -> 29 nov À l’Auditorium du Conservatoire
Gratuit
21e Journées Nationales de Musique Électroacoustique :
Journées proposées par l’Association des Enseignants de la Composition en Musique Électroacoustique
27 novembre 18:00 Concerts d’étudiants et d'étudiantes
28 novembre 18:00 et 20:00 Concerts d’étudiants et d'étudiantes
29 novembre 18:00 Concerts d’étudiants et d'étudiantes
Étudiants en composition électroacoustique dans les conservatoires du réseau
27 novembre 20:00 Concerts acousmatiques
Compagnie Alcôme – Anton Iakhontov, Armando Balice, Maylis Raynal, Qingqing Teng, Livia Giovaninetti, Paul Ramage, Jean-Marc Weber
27 novembre 10:00 Présentation
« Présentation, historique et technique de l’interprétation acousmatique par Jonathan Prager »
28 novembre 14:00 Conférence de Daniel Deshays
Daniel Deshays est ingénieur du son, concepteur du sonore, conférencier, essayiste et professeur des universités, auteur de nombreux ouvrages.
29 novembre 10:00-12:00 Table-ronde
« Dispositifs et réseaux pour la jeune création »
Avec : Robert Llorca, Estelle Lowry, Justina Repečkaité, Nicolas Royer, Nicolas Thirion, Wilfried Wendling
29 novembre 14:00-16:00 À l’École Média Art Fructidor
Rencontre « Paysages sonores : Rencontre avec trois chercheurs »
Organisé par le Centre Interlangues Texte Image Langage de l’Université de Bourgogne
Le festival Ekhoes accueille des enseignants-chercheurs qui viendront présenter trois manières d’étudier les paysages sonores. La séance est organisée par l’équipe « Image et Critique » du laboratoire TIL (Centre Interlangues, Texte, Image, Langage) de l’Université de Bourgogne dans le cadre du séminaire « Intermédialités sensibles ». Ce laboratoire rassemble des chercheurs en Sciences Humaines et Sociales qui appartiennent en grande majorité à la faculté de Langues et Communication.
Les intervenants présenteront le rôle que joue le paysage sonore (soundscape) dans leur recherche. Entre imaginaire sonore et réalité historique, le paysage sonore entretient un rapport intime à nos représentations sociales et culturelles, à l’histoire des médias et à la mémoire collective.
Ali Haptaçi (Université de Bourgogne) : « Des marteaux aux klaxons : Le paysage sonore en transformation en Angleterre (1780-1930) »
Guillaume Dupetit (Université Gustave Eiffel) : « Fictions Soniques, du processus de transformation des sons dans la perception des paysages sonores »
Philippe Gonin (Université de Bourgogne) : « De la nostalgie à la dystopie : le soundscape dans la musique de Pink Floyd (1967-1994) »
CORÉALISATION
Programmation :
ici l’onde – centre de création musicale
Alcôme – compagnie de créations musicales et sonores
Collectif La Méandre
En partenariat avec :
- Le Conservatoire à Rayonnement Régional du Grand Chalon
- L’Espace des Arts – Scène nationale
- L'École Média Art Fructidor
- L’Association des Enseignants de Composition en Musique Électroacoustique
- le Centre Interlangues de l’Université de Bourgogne